Ma passion pour la lingerie sale

Je m’appelle Laurent, j’ai 33 ans et je travaille à mon compte comme agent immobilier. Je ne suis pas de nature à parler de mes préférences sexuelles ouvertement. Mais cette fois, je vais être parfaitement transparent. Parlons tout d’abord de moi. Je suis un homme plutôt banal. Je mesure dans les 1m80 et je ne suis ni très beau, ni très moche. Je suis brun, j’ai les yeux marrons et je porte une moustache me donnant un style dans l’air du temps. Ce style, je l’entretiens afin de séduire plus facilement les femmes, ne disposant pas de caractéristiques physiques particulièrement avantageuses. 

Il est vrai que mon métier me permet de rencontrer beaucoup de monde. Parmi mes rencontres, des femmes. Je les préfère brunes aux yeux clairs, mais je me laisse facilement charmer par les blondes d’apparence un peu froide. Je ne peux pas dire que j’aie un succès fou, mais je ne peux pas me plaindre non plus. J’ai des relations sexuelles régulières, m’offrant tout de même une réelle satisfaction. Cependant, le sexe à deux n’est pas la seule pratique à laquelle je m’adonne.  

Comment j’ai commencé à aimer la lingerie sale

Ce jour-là, j’étais avec des amis dans un bar. J’ai rencontré une femme, autour d’un verre. Un peu alcoolisés, nous nous sommes très vite livrés sur nos pratiques sexuelles. Deux heures plus tard, je commandais un taxi pour qu’on aille chez elle. Plus âgée que moi, la quarantaine, cette femme était très à l’aise avec son corps. Au moment de nous rapprocher physiquement, j’ai remarqué qu’une odeur persistante émanait de son entrejambe car elle portait une jupe assez courte. Cette odeur prononcée m’excitait. C’était une sensation que je n’avais jamais ressentie auparavant. Au moment de retirer son joli tanga bleu, je l’ai saisi et je n’ai pas pu m’empêcher de le renifler tout au long de nos ébats.

Dès le lendemain, je tapais « culotte sale » sur les moteurs de recherche. Je me suis alors aperçu que je n’étais pas le seul à apprécier les petites culottes odorantes. Sur ces sites, des centaines de femmes proposent leurs sous-vêtements à la vente, pour mon plus grand plaisir. Peu à peu, j’ai évolué dans mes préférences en matière de lingerie sale. D’abord à la recherche de culottes portées deux ou trois jours, je suis maintenant plus attiré par celles qui ont été portées plus d’une semaine. Avant, seule l’odeur était importante. À présent, je parcours les sites de ventes de sous-vêtements pour me procurer de la lingerie fine tapissée de pertes blanches. Culotte, shorty, tanga ou encore brésilien, je les aime tous. Quelques fois, je m’offre des ensembles entiers. J’imagine cette femme, aux seins lourds et à la chatte odorante se toucher délicatement dans ses sous-vêtements sexy. Il ne m’en faut pas plus pour m’exciter et me faire jouir. 

Pour moi, la petite culotte en coton représente à la fois la pudeur et l’érotisme. Quoi de plus excitant qu’une culotte pour rentrer dans l’intimité la plus profonde d’une femme coquine. Renifler de la lingerie sale m’a permis de redécouvrir les plaisirs solitaires. Pour être honnête, je crois qu’à présent je préfère me branler seul avec une culotte fraichement reçue plutôt que d’éprouver de la frustration avec une femme qui n’assouvirait pas mes désirs et mes fantasmes. La plupart du temps, les belles demoiselles offrant leurs culottes contre quelques euros ajoutent aux paquets une ou deux photos ainsi qu’un petit mot très très coquin. Cette proximité, obtenue à la fois grâce à la culotte et aux petites attentions personnalisées, stimule mon imagination et me permet d’atteindre l’orgasme en un rien de temps. Quelques fois les sous-vêtements souillés arrivent encore humides. Je me dis alors que la femme de l’autre côté de l’enveloppe a pris récemment du plaisir dans sa petite culotte. Il serait trop dommage de la laver sans en faire profiter un homme fétichiste de la lingerie sale !

Contrairement à ce que l’on peut croire, nombreuses sont les femmes à éprouver du plaisir en imaginant un homme se masturber avec leur lingerie sale. Cet échange sexy et cette complicité sexuelle sont les raisons pour lesquelles j’aime renifler de la lingerie sale.